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 Une journée entre filles

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Orsay A. Jonhson

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MessageSujet: Une journée entre filles   Une journée entre filles EmptyMar 28 Déc - 2:50

Une journée entre filles Tumblrl6v46yaczv1qbi6zv
ELISABEHT ET ORSAY

Depuis que j’étais en couple avec Alexander, je passais le plus clair de mon temps chez lui, délaissant de plus en plus mon appartement. Je m’y rendais seulement pour que la concierge ne pense pas que je paie un loyer pour rien, même si c’était le cas. Même quand je n’avais pas cours et que le jeune homme travaillait, je passais mes journées et mes nuits chez lui. Cela rendait souvent service à la nounou et j’étais contente de passer du temps avec Eli’, car après tout ce n’était que comme ça que je pouvais apprendre à la connaître. Comment tous les jours où il partait travaillait, je me réveillais et me levais en même temps que lui. Plus je passais de temps à ses côtés et plus j’étais heureuse. Une fois de plus, j’avais donné congé à la nounou, ce qui l’avait ravie et je pouvais la comprendre. Cela ne devait pas être super tout les jours de s’occuper des enfants des autres. Attablée à la table de la cuisine, une tasse de café fumant dans les mains, je regardais le vide, me demandant comment j’allais occuper la journée de la petite. Elle n’avait peut-être que deux ans et pourtant elle était déjà curieuse, voir même des fois trop curieuse. Un petit sourire sur les lèvres, je me remémorais tout ce qui c’était passé depuis le début de ma relation avec son père et celui qui me revenait le plus souvent en mémoire, c’était bien entendu le jour où elle nous avait découvert dans la chambre de Queen. Si j’avais pu, je me serais très certainement cachée dans un trou de souris. Jamais je n’aurais pensé qu’elle allait nous suivre. Heureusement que nous ne faisions pas encore autre chose, parce que je n’aurais très certainement jamais trouvé d’explication à peu près valable. Maintenant, à chaque fois que j’y repensais j’avais envie de rire, ce qui était plutôt compréhensible. Après avoir bu plus de la moitié de ma tasse de caféine, je me relevais pour aller m’habiller, car il fallait que je sois prête à toute éventualité avec la petite. Si elle voulait sortir faire un tour, il fallait que tout soit près dans les minutes qui suivaient sa demande. J’étais très certainement un peu trop sympa d’accepter tout ce qu’elle demandait, mais je me voyais mal lui mettre des règles. Après tout, je n’étais pas sa mère, seulement la copine de son père et ce n’était pas vraiment mon rôle de la gronder ou de la punir.

Une fois dans la chambre à couchée, ce qui arrivait chaque jour recommença. Une nouvelle fois, je ne savais pas quoi mettre. Nous étions en hiver et pourtant il ne faisait pas si froid que ça. Bien entendu, je n’allais pas m’habiller en hiver, car je n’avais pas envie de tomber malade et de donner du travail supplémentaire à Alexander. Au bout de très longues minutes, je décidais de mettre un jeans de couleur foncé avec un pull rouge sang et une paire de talons noirs. La tenue était plutôt classique et c’était pile ce que je voulais. Me doutant que la petite n’allait pas encore se lever, vu qu’il était à peine 7h45, je décidais de me prendre une bonne douche, qui allait finir de me réveiller. Celle-ci ne dura pas très longtemps, n’ayant pas envie de laisser Elisabeth toute seule si elle venait à se réveiller. Se fut donc pour cela qu’à peine dix minutes après, je me retrouvais dans une serviette, m’essayant le corps pour m’habiller et ensuite aller préparer le petit déjeuner de cette chère princesse. Une fois vêtue et les cheveux attachés, je retournais dans la cuisine, sortant le pain, la confiture, le beurre et bien entendu la Nutella. Je savais parfaitement que le jeune homme n’était pas encore tout à fait d’accord pour qu’elle boive dans un verre, mais j’avais envie de l’initier gentiment, se fut donc pour cela qu’à la place de sortir le biberon pour préparer son lait, je sortis une tasse en plastique. Au moment où je posais le tout sur la table, j’entendis que la petite commençais de s’agiter dans son lit.
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Elisabeth E. Sheppard

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MessageSujet: Re: Une journée entre filles   Une journée entre filles EmptyMer 29 Déc - 0:47

Orsay & Elisabeth ♥️

Une journée entre filles 32068681Une journée entre filles 42841728Une journée entre filles 45937259Une journée entre filles 98508181Une journée entre filles 67698799Une journée entre filles 32414313


    « Papa ? » appelais-je d'une voix encore à moitié endormie. Je venais tout juste de me réveiller, et c'est tout naturellement que je l'appelais, lui.

    Papa travaillait beaucoup. Rares étaient les fois où il était là dans la journée, et où il pouvait s'occuper de moi. Ces jours là étaient ceux qu'il prenait ou encore ceux où il avait, la veille, travaillé la nuit, - et encore, lors de ces derniers, il était rare que papa soit présent quand je me réveillais. Toujours est-il que, si ça n'était pas toujours lui qui venait me chercher au réveil, c'était néanmoins toujours lui que j'appelais, et personne d'autre. Pourquoi lui ? Parce qu'il était celui sur qui je pouvais toujours compter, et que s'il était là, il venait me chercher dans les minutes qui suivaient. Je pensais voir Sarah débarquer dans ma chambre, et finalement, ce fut la silhouette d'Orsay que j'aperçus, ses longs cheveux qui pendaient de sa queue de cheval retombant sur ses épaules. Ces derniers jours, je passais beaucoup de temps avec Orsay. Enfin... Elle en passait beaucoup avec nous. Depuis cette fois où papa l'avait ramenée à la maison parce qu'elle était malade, son amoureuse passait le plus clair de son temps chez nous, et ça n'était pas pour me déplaire. Après tout, je l'aimais bien, moi, Orsay. Elle était très jolie, et très gentille aussi. Elle ressemblait à ces princesses, dans les dessins animés. Elle avait toujours le sourire, et elle était toujours pleine de douceur avec moi. Au fil du temps, je commençais même à m'habituer à sa présence chez nous. Je crois que, si elle était partie du jour au lendemain, elle m'aurait manqué. Et puis, j'aimais bien quand elle était à la maison, parce que papa avait l'air heureux. Il n'était pas malheureux, quand il était tout seul avec moi... Mais son sourire avait quelque chose de différent. Comme le mien, quand elle était là. Me levant dans mon lit à la vue de l'amoureuse de papa, je levais mes petits bras en l'air tout en m'écriant :

    « Oh Orsaaaay ! »

    Elle me prit dans ses bras, et j'entourais les miens autour de son cou, avant de déposer un baiser légèrement baveux (a) sur sa joue. Elle avait les cheveux humides, et elle sentait encore le savon. Elle avait pris sa douche. Oui, les grands, eux, prenaient souvent des douches. Bien plus souvent que des bains, du moins. Tandis que nous, les enfants, on préférait les bains. Parce qu'ils semblaient moins agressifs, et qu'on pouvait jouer dedans. Je respirai son parfum quelques secondes, avant de nicher ma tête au creux de son cou, tandis qu'elle se dirigeait déjà dans la cuisine, où elle avait visiblement tout préparé pour le petit déjeuner. Rares étaient les fois où tout était sorti de la sorte. Même Sarah ne le faisait pas. Elle attendait en général que je sois réveillée avant de me préparer mon petit déjeuner et me déposait sur le canapé en attendant. Ca me laissait le temps d'émerger, et ça lui laissait le temps de tout préparer. Et puis, en général, je prenais mon biberon sur le canapé. Avec Orsay, les choses étaient différentes, et ça n'était pas pour me déplaire. Bien vite, elle me déposa, tandis qu'elle s'activait autour de la table. Jouant légèrement avec une mèche de cheveux qui m'avait chatouillé le visage, je demandais :

    « Orsaaaay ? » Quand elle tourna la tête vers moi et que je fus sûre d'avoir toute son attention, je continuai, « Bah... Hm... Il rentre quand, papa ? »

    Non pas que je m'ennuyais avec elle, entendons nous bien. Mais cette question, je la posais toujours. A Sarah, à Caly', ou à quiconque me gardait dans la journée. Parce que mon papa n'avait pas toujours les mêmes horaires, et que j'étais parfois un peu perdue, au milieu de tout ça. C'était pour cette raison que je demandais à la personne qui me gardait quand il rentrerait. Quand il travaillait de nuit, la réponse était « dans l'après midi », et je savais alors qu'à mon réveil, juste après ma sieste, papa serait là. Mais quand il travaillait la journée, alors, la réponse était « ce soir », et je savais ainsi qu'il ne rentrerait pas avant l'heure du diner. Cette question, c'était un moyen comme un autre d'attendre son retour. Et là, en l'occurrence, c'était surtout un moyen de savoir combien de temps je pourrais passer avec Orsay, puisque visiblement, ces derniers jours, elle avait pas mal de ses journées de libres.


Spoiler:
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MessageSujet: Re: Une journée entre filles   Une journée entre filles EmptyMer 29 Déc - 1:18

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ELISABEHT ET ORSAY

Plus d’une fois depuis que je squattais chez Alexander, je m’étais demandé si cela ne dérangeait pas Queen et surtout Elisabeth. Après tout je venais tout juste d’entrer dans leur vie et je passais déjà tout mon temps chez eux, comme si je vivais là, ce qui n’était bien entendu pas le cas. Peut-être que dans quelques jours j’allais lui en parler, pour être bien certaine que je ne dérangeais vraiment personne. Au moment où je déposais la dernière assiette sur la table, je réalisais que depuis mon réveil je n’avais pas arrêté de m’activer. Le seul moment où j’étais restée tranquille c’était quand j’avais bu mon café, ce qui voulait dire à peine cinq minutes. C’était quand même dingue de voir que je ne pouvais pas rester sans rien faire. Se fut à cet instant là que la petite se réveilla et que le premier mot qui sortit de sa bouche et qui cassa le silence de l’appartement atteint mes oreilles. C’était drôle de voir qu’à peines les yeux ouverts, elle voulait voir son père et rien que lui. Heureusement que cela ne la dérangeait pas de voir à chaque fois quelqu’un d’autre. Peut-être était-elle quand même un peu déçue ou alors elle avait pris l’habitude. C’est vrai qu’avec les horaires qu’il faisait, il était rarement là le matin à son réveil. Sachant qu’elle n’allait pas sortir du lit avant de voir quelqu’un arriver dans la chambre, je pris tout tranquillement la direction de sa chambre, me demandant si elle se doutait qu’une nouvelle fois elle allait passer la journée avec moi plutôt qu’avec sa nourrice. Il y avait un point positif dans tout ça, c’est que quand j’aurais mes propres enfants, je serais déjà un peu entraîné, même si je ne l’ai pas connu étant bébé. D’un côté c’était un peu dommage, car c’était quand même les mois les plus difficiles.

Au moment où j’arrivais dans la chambre et que le regard d’Elisabeth se déposa dans le mien, un grand sourire s’afficha sur mon visage. Quand elle prononça mon prénom, je fus plutôt contente, car elle aurait très bien pu bouder et me dire qu’elle ne voulait pas de moi. Ben oui, c’est qu’elle a déjà son petit caractère et elle sait très bien dire non quand elle ne veut pas quelque chose, j’en ai déjà eu la preuve plus d’une fois. Une fois près de son petit lit, je la pris dans mes bras.

« Et bien, tu t’es levée tôt aujourd’hui. »

Au même moment, elle me déposa un petit baiser plutôt baveux et pour essayer de la faire rire, je fis une petite grimace. Me doutant qu’elle devait avoir faim, je fis me retourna et repris le chemin inverse pour retourner à la cuisine et la faire déjeuner. J’avais eu beau réfléchir, je n’avais toujours pas trouvé d’activité pour l’occuper jusqu’au retour d’Alexander. J’allais très certainement lui demander ce qu’elle aurait envie de faire et peut-être qu’avec ses demandes, d’autres idées me viendraient. En seulement quelques minutes on se retrouva dans la cuisine. Bien vite, je l’installais sur une chaise de la cuisine et commença ensuite à préparer sa première tartine qui allait être à la confiture, vu que le biberon allait être au chocolat. Ben oui, je n’allais quand même pas la gaver de chocolat, surtout que part la suite je risquais de me faire taper sur les doigts part son père. Au moment où je finissais d’étaler la confiture sur le beurre, la petite reprit la parole et quand je déposais mon regard sur elle, tout en déposant la petite tartine sur son assiette, sa question me fit sourire. Sa m’aurait étonné qu’elle ne la pose pas et c’était étonnant qu’elle ne me l’ait pas demandé dès que je l’avais pris dans les bras. Rapidement, j’essayais de me rappeler ce qu’il m’avait dit.

« Il me semble qu’il finit dans l’après-midi. »

Ce qui voulait dire qu’il allait très certainement être là après sa sieste, si bien entendu il n’avait pas d’imprévu au travail. Bon de toute façon je pense que je le saurais avant l’heure s’il devait être retenu. Je me fis ensuite également une tartine, car je savais que je n’allais pas tenir sans rien dans le ventre jusqu’au repas de midi. Au moment où je fus assise et où je croquais dans le pain, une petite idée me vint. C’était rare mais cela m’arrivait quand même de temps en temps. Bien entendu, si Eli’ était d’accord, elle allait voir sa journée un peu chamboulée, mais un peu de changement ne faisait pas de mal.

« Dit moi, sa te dirais qu’on aille chercher ton papa à son travail cet après-midi ?? »
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MessageSujet: Re: Une journée entre filles   Une journée entre filles EmptyMer 29 Déc - 23:29

    Moi, j'aimais bien Orsay. Je comprenais pourquoi papa était amoureux d'elle. Elle était jolie, elle était gentille, elle avait la peau douce, aussi, et de très longs cheveux blonds tous doux également. C'était, en somme, une vraie princesse. Pas étonnant qu'un héros comme papa ait été attiré par elle. Pour ce qui était de ce qui l'avait amenée, elle, à tomber sous le charme de papa, la réponse était là aussi évidente. Papa était très gentil, très doux, très protecteur, mais aussi très beau et très fort. Ils allaient bien ensemble. Ils faisaient un beau couple à mes yeux, même si j'étais encore un peu jeune pour savoir déterminer si une personne x était compatible avec une personne y. Enfin. Là n'était pas la question. Tout ça pour dire que la présence d'Orsay dans la vie de papa – et par conséquent dans la mienne - ne me dérangeait pas, bien au contraire. Après tout, il était agréable d'avoir une autre présence féminine que celle de Queen dans la maison, et il était surtout agréable de voir papa heureux comme il l'était. Ce matin, quand je m'étais réveillée, c'était justement Orsay qui était venue me lever. Certainement parce que papa travaillait. Il travaillait beaucoup, mon papa. Il avait beaucoup de gens à guérir, de vies à sauver. C'était un héros, et les héros, ça a un emploi du temps de ministre, c'est bien connu. En voyant Orsay entrer dans ma chambre, je ne m'étais pas posé la question de savoir où était papa, puisque la réponse était évidente à mes yeux. Et je n'avais pas non plus cherché à savoir où était Sarah : il me semblait évident qu'elle avait été congédiée pour la journée, et que je passerais celle-ci en compagnie de l'amoureuse de papa. J'en étais contente, pour ne pas dire ravie, même. Elle m'adressa un large sourire, avant de s'approcher de mon lit, et de déclarer :

    « Et bien, tu t’es levée tôt aujourd’hui. »

    Ca, j'étais incapable de le dire. Il était peut-être effectivement tôt, je n'en avais aucune idée. Et puis, je n'avais aucune notion de l'heure. Mais je voulais bien croire Orsay. Et malheureusement pour elle, je n'avais aucune explication à mon réveil si matinal, si ce n'est que je n'étais plus fatiguée – et ça, elle le remarquerait probablement au cours de la matinée qui nous attendait. Dans ses bras, je n'avais pas attendu de lui faire un bisou quelque peu baveux sur sa jolie joue de princesse, ce à quoi elle avait répondu par une légère grimace. Souriant, j'avais alors niché ma tête dans son cou tandis que nous avions toutes les deux pris la direction de la cuisine. C'est à la table de celle-ci qu'elle m'installa, pour une fois. Comme une grande, j'attendais – en tentant de ne pas me montrer trop impatiente – qu'elle me prépare mon petit déjeuner. Et comme à mon habitude, je lui avais demandé quand revenait papa. Je la vis sourire à ma question, aussi, après un instant, elle me répondit :

    « Il me semble qu’il finit dans l’après-midi. »

    Je pris ma tartine avant de commencer à mordre dedans.

    « Après la sieste ? » demandais-je alors en guise de confirmation, pour être certaine que j'avais bien compris.

    Continuant de machouiller dans la tartine qu'Orsay m'avait faite – et étalant au passage de la confiture sur mon nez – elle reprit la parole, pour me faire part d'une proposition :

    « Dit moi, sa te dirais qu’on aille chercher ton papa à son travail cet après-midi ?? »

    Lâchant ma tartine qui retombait dans l'assiette devant moi, je brandis les bras en l'air en m'écriant :

    « Oh ouiiii ! »

    Ca serait la première fois que je ferais ça. Habituellement, c'était papa qui venait me chercher, et non pas l'inverse. Plongeant mon regard dans celui d'Orsay, et lui laissant ainsi tout le loisir d'admirer mon joli petit museau remplit de confiture, j'ajoutai :

    « C'est la surprise ? »

    Eh oui, papa serait-il ou non au courant de notre petite visite ? Certainement pas. Ce qui rendait l' « aventure » encore plus excitante.

    « On le verra jouer au docteur alors... » ajoutai-je en soulevant le haut de mon pyjama pour l'enlever, comme papa l'avait fait avec Orsay dans la chambre de Queen. (XD)

    Ce jour là, je m'en rappelais comme si c'était hier. C'était la première fois qu'Orsay passait autant de temps avec nous. On avait été malades toutes les deux. Et papa l'avait auscultée dans la chambre de Queen. Il l'avait allongée sur le lit, et ils avaient tous les deux retiré leurs hauts pour l'occasion. Jamais papa ne m'avais auscultée comme ça. En général, il n'avait pas besoin de m'allonger pour vérifier mon état de santé, ni même de retirer son t-shirt. C'était un truc de grands, il paraît. C'était du moins ce que Queen avait dit. Et je voulais bien la croire. Repensant à cet instant où ils avaient été gênés, et où j'avais semblé les déranger, j'ajoutai :

    « Tu crois qu'il sera pas fâché ? »
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MessageSujet: Re: Une journée entre filles   Une journée entre filles EmptyJeu 30 Déc - 1:00

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ELISABEHT ET ORSAY

Le temps que je m’assois à mon tour à table et que je croque dans ma tartine, Elisabeth avait déjà plein de beurre te de confiture sur le visage. Heureusement que part la suite elle irait se laver, car je la voyais mal rester toute la journée dans cet état, même si je me doutais bien que cela ne la dérangerais pas. Pour elle, c’était comme un maquillage et plus d’une fois elle m’avait supplié pour restée barbouillée de chocolat. Une ou deux fois, je lui avais permis de garder son beau maquillage – comme elle le disait si bien – mais j’avais toujours tout enlevé avant que son père rentre de son travail, ne sachant pas vraiment comment il le prendrait s’il voyait sa petite fille dans un état pareil. Quand elle m’avait demandé quand rentré Alex et que je lui avais dis dans l’après-midi, il ne lui avait fallut que quelques secondes avant de reprendre la parole. Elle n’avait peut-être que deux ans, mais elle avait déjà de la répartie et je plaignais déjà son père pour les prochaines années. Un petit sourire sur les lèvres, je pris quand même le temps de finir ma bouche avant de lui dire quoique se soit et je ne pu pas m’empêcher de prendre une serviette et de lui enlevée une couche de beurre.

« Oui, tu as tout compris. »

Tout en mordant dans ma tartine, je réfléchissais encore et toujours à une occupation et finalement une idée, plutôt sympathique à faire me vint à l’esprit. Je me doutais déjà de la réponse d’Elisabeth, mais je voulais quand même en être certaine. Se fut donc pour cela que je la lui posais bien vite et j’eu tout juste le temps de finir ma phrase, que sa réponse éclata dans l’air. En voyant la réaction de la petite, un petit rire sortit de ma bouche et je cru même pendant quelques secondes qu’elle allait tombée de la chaise, mais tout ce qui tomba au final se fut sa tartine qui atterrit dans son assiette. Je l’écoutais donc parler, un grand sourire sur les lèvres. Au moins maintenant j’étais certaine que cela lui faisait plaisir et j’étais également certaine qu’Alexander serait ravi de nous voir débarquer.

« Oui c’est la surprise. Mais si on va le chercher, ta sieste sera plus courte. »

Pendant quelques secondes, j’eu envie de lui faire sauter la sieste, mais je n’avais pas vraiment envie de la voir grognon en attendant son papa, qui prendrait très certainement tout son temps, vu qu’il ne sera pas au courant de notre venue. Au moment où je recommençais de manger ma tartine, Lily reprit la parole et je cru m’étouffer avec le bout de pain qui se trouvait dans ma bouche. Voilà que la petite était en train de faire ce qu’elle avait vu quelques jours plus tôt en débarquant dans la chambre de sa tante. Je savais que les enfants avaient une bonne mémoire, mais pas à ce point. Je sentis le rouge me monter aux joues, mais je fis tout pour le cacher, n’ayant pas vraiment envie de répondre à ses questions. J’acquiesçais lentement à sa question.

« Oui voilà, mais pas comme ça. Si tu veux on se fera passer pour des malades, comme ça ton papa t’auscultera. »

Peut-être que si Alexander ausculterait Eli0, elle oublierait ce qu’elle avait vu le jour où nous étions dans la chambre de Queen, En tout cas maintenant je savais que je devais me méfier de chaque parole et de chaque geste quand la petite se trouvait dans les parages.
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MessageSujet: Re: Une journée entre filles   Une journée entre filles EmptyLun 10 Jan - 2:53

Cette journée s'annonçait des plus agréables en compagnie d'Orsay. Comme à chaque fois que je me retrouvais avec elle, d'ailleurs. Oui, je le reconnaissais : j'adorais passer du temps avec Orsay. Parce que lorsqu'elle était là, les choses étaient différentes. Que papa soit la ou non. Quand il n'était pas là, elle me faisait souvent faire des choses qui sortaient de l'ordinaire. Et quand il était là, il était différent. Il était plus heureux. C'était comme si elle avait des pouvoirs magiques. Comme si, en plus d'être une princesse, elle avait le pouvoir de changer notre vie du tout au tout. Je l'aimais bien, Orsay. Alors, quand elle était venue me lever, j'avais été contente de la voir. Peut-être était-ce parce que j'avais bien dormi – bien que je me sois levée tôt - ; mais j'avais vraiment été enthousiaste en la voyant. Sans plus attendre, elle m'avait prise dans ses bras avant de m'installer à table, avec elle. Comme une grande. J'étais fière de ça. Papa, lui, il m'installait toujours sur le canapé et me donnait le biberon. Et si c'était bien également, le petit déjeuner « à la Orsay » me donnait cependant cette impression d'être une grande fille qui le rendait si attractif. Oui, comme tous les enfants, moi aussi, je voulais qu'on me traite comme une grande. Mais seulement quand ça m'arrangeait. Parce qu'il était aussi agréable d'être traitée comme une petite fille... Quand j'étais fatiguée, ou quand j'étais malade, par exemple... Papa me prenait dans ses bras, ne s'occupait que de moi, et j'aimais ça. J'aimais avoir l'attention des gens, mais aussi et surtout leur affection. Et ne s'appliquait qu'encore plus lorsqu'il s'agissait de papa.

Machouillant dans la tartine qu'elle m'avait préparée, et appliquant au passage plein de confiture sur le bout de mon nez, je lui avais alors demandé quand rentrerait papa. Cela n'avait rien de personnel. Je ne sous entendais pas par là que j'avais envie de le voir, lui – bien que ce fut pourtant le cas – mais cette question, j'avais pour habitude de la poser, quelle que soit la personne qui me gardait. C'était important pour moi. Ca m'était nécessaire. Parce que mon papa, lui, m'était nécessaire aussi. Elle m'avait répondu qu'il terminait dans l'après-midi, et je lui avais alors demandé si c'était après ma sieste, histoire d'être certaine que j'avais bien compris ce qu'elle m'avait dit. Je vis un sourire se dessiner sur ses lèvres et, lorsqu'elle eut terminé ce qu'elle avait dans la bouche, elle essuya mon visage avec une serviette et elle me répondit :

« Oui, tu as tout compris. »

Je souris, fière de moi. J'aimais ça. Quand elle me parlait comme ça. Son « tu as compris » était peut-être simple, mais il me faisait plaisir. Fière de moi, je recommençai à machouiller ma tartine, remettant au passage un peu de beurre et de confiture sur mon visage pourtant tout propre grâce à Orsay. Tant que je n'aurais pas fini de manger, de toute façon, ça serait peine perdue. Je savais que j'aurais plein de beurre et de confiture sur moi, jusqu'à ce que j'aille me laver, et cela ne me déplaisait pas tant que ça. J'avais l'impression d'être une grande, quand j'étais comme ça. Une grande et jolie princesse, avec du maquillage. Un léger silence s'installa entre nous – chose plutôt étonnante quand on sait combien j'étais bavarde, malgré mon jeune âge – et Orsay avait repris la parole pour me demander si ça me disait d'aller chercher mon papa à son boulot, cet après midi. Ma réponse ne s'était bien évidemment pas attendre. Lâchant ma tartine, j'avais levé les bras en l'air avant de m'écrier. Cela fit rire Orsay, et je lui demandais sans plus attendre des précisions quant à cette activité. Je me posais en effet plein de question. Cela serait-il une surprise pour papa ? Ne serait-il pas fâché de nous voir là bas ? Après tout, il allait ausculter des patients et, comme, la dernière fois, il avait semblé gêné que je le surprenne en train d'ausculter Orsay, je voulais m'assurer que cela ne le dérangerait pas, et qu'il ne nous gronderait pas. Avec un sourire aux lèvres, Orsay me répondit :

« Oui c’est la surprise. Mais si on va le chercher, ta sieste sera plus courte. »

Une sieste plus courte ? Cela ne me dérangeait pas. Après tout, si c'était pour aller voir papa, j'étais prête à dormir moins longtemps. Alors qu'Orsay recommençait à manger, je lui avais posé ma question, quant au travail de papa. J'avais simplement déclaré qu'on le verrait jouer au docteur, tout en soulevant mon haut pour imiter ce que je les avais vus faire ensemble l'autre fois, dans la chambre de Queen. Cela sembla surprendre Orsay, mais aussi la choquer, puisqu'elle faillit s'étouffer en mangeant et qu'elle en devint toute rouge. Elle acquiesça d'un signe de tête, avant de me répondre :

« Oui voilà, mais pas comme ça. Si tu veux on se fera passer pour des malades, comme ça ton papa t’auscultera. »

Quelle drôle d'idée. Se faire passer pour des malades ! Papa saurait que je n'étais pas malade, rien qu'en mettant sa main sur son front. Même si j'aurais aimé jouer au docteur avec lui, je doutais que cela marche. Et puis, je trouvais cette idée vraiment étrange.

« Mais... Orsay, papa il va le savoir que c'est... pas vrai. »

Je souris, avant de demander :

« C'était faux, l'autre fois, quand tu étais malade... et que... tu as joué au docteur avec lui ? »
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